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老殘游記法語(yǔ)版

  大明湖Le Lac Ta-ming

  劉鶚著 盛成譯   1964年盛成先生應(yīng)聯(lián)合國(guó)教科文組織的約請(qǐng),將清朝劉鶚的名著《老殘游記》(L’Ody ssee de Lao Ts'an, Par Lieou Ngo)譯成法文。《大明湖》是其中的精彩一段。原文 和譯文由盛成研究會(huì)的胥弋先生提供。

  大 明 湖

  自從那日起,又過(guò)了幾天,老殘向管事的道,“現(xiàn)在天氣漸寒,貴居停(注:居停,即主人、東家。)的病也不會(huì)再發(fā),明年如有委用之處,再來(lái)效勞。目下鄙人要往濟(jì)南府去看看大明湖的風(fēng)景。”管事的再三挽留不住,只好當(dāng)晚設(shè)酒餞行,封了一千兩銀子奉給老殘,算是醫(yī)生的酬勞。老殘略道一聲“謝謝”,也就收入箱籠,告辭動(dòng)身上車(chē)去了。一路秋山紅葉,老圃黃花,頗不寂寞。到了濟(jì)南府,進(jìn)得城來(lái),家家泉水,戶(hù)戶(hù)垂楊,比那江南風(fēng)景,覺(jué)得更為有趣。到了小布政司街,覓了一家客店,名叫高升店,將行李卸下,開(kāi)發(fā)了車(chē)價(jià)酒錢(qián),胡亂吃點(diǎn)晚飯,也就睡了。

  次日清晨起來(lái),吃點(diǎn)兒點(diǎn)心,便搖著串鈴滿(mǎn)街踅(注:踅,往返來(lái)回,兜圈子。)了一趟,虛應(yīng)一應(yīng)故事。午后便步行至鵲華橋邊,雇了一只小船,蕩起雙槳。朝北不遠(yuǎn),便到歷下亭前。下船進(jìn)去,入了大門(mén),便是一個(gè)亭子,油漆已大半剝蝕。亭子上懸了一副對(duì)聯(lián),寫(xiě)的是“歷下此亭古,濟(jì)南名士多”,上寫(xiě)著“杜工部句”(注:杜工部,詩(shī)人杜甫。),下寫(xiě)著“道州何紹基書(shū)”。亭子旁邊雖有幾間群房,也沒(méi)有什么意思。復(fù)行下船,向西蕩去,不甚遠(yuǎn),又到了鐵公詞畔。你道鐵公是誰(shuí)? 就是明初與燕王為難的那個(gè)鐵鉉。后人敬他的忠義,所以至今春秋時(shí)節(jié),土人尚不斷的來(lái)此進(jìn)香。

  到了鐵公祠前,朝南一望,只見(jiàn)對(duì)面千佛山上,梵宇僧樓,與那蒼松翠柏,高下相間,紅的火紅,白的雪白,青的靛青,綠的碧綠,更有那一株半株的丹楓夾在里面,仿佛宋人趙千里的一幅大畫(huà),做了一架數(shù)十里長(zhǎng)的屏風(fēng)。正在嘆賞不絕,忽聽(tīng)一聲漁唱。低頭看去,誰(shuí)知那明湖業(yè)已澄凈的同鏡子一般。那千佛山的倒影映在湖里,顯得明明白白。那樓臺(tái)樹(shù)木,格外光彩,覺(jué)得比上頭的一個(gè)千佛山還要好看,還要清楚。這湖的南岸,上去便是街市,卻有一層蘆葦,密密遮住。現(xiàn)在正是著花的時(shí)候,一片白花映著帶水氣的斜陽(yáng),好似一條粉紅絨毯,做了上下兩個(gè)山的墊子,實(shí)在奇絕。

  老殘心里想道:“如此佳景,為何沒(méi)有什么游人?”看了一會(huì)兒,回轉(zhuǎn)身來(lái),看那大門(mén)里面褐嫌懈倍粵吹氖恰八拿婧苫ㄈ媼懷巧繳氤嗆保蛋檔閫返?,“真正不錯(cuò)!”進(jìn)了大門(mén),正面便是鐵公享堂(注:享堂,祭堂。),朝東便是一個(gè)荷池。繞著曲折的回廊,到了荷池東面,就是個(gè)圓門(mén)。圓門(mén)東邊有三間舊房,有個(gè)破匾,上題“古水仙祠”四個(gè)字。祠前一副破舊對(duì)聯(lián),寫(xiě)的是 “一盞寒泉薦秋菊,三更畫(huà)船穿藕花”。過(guò)了水仙祠,仍舊上了船,蕩到歷下亭的后面。兩邊荷葉荷花將船夾住,那荷葉初枯,擦的船 襪 價(jià)響;那水鳥(niǎo)被人驚起,格格價(jià)飛。那己老的蓮蓬,不斷的繃到船窗里面來(lái)。老殘隨手摘了幾個(gè)蓮蓬,一面吃著,一面船已到了鵲華橋畔了。(選自人民文學(xué)版《老殘游記》劉鶚 著)

  Le Lac Ta-ming

  Quelques jours plus tard, il dit à l'intendant des Houang :

  -- A présent que le temps se refroidit, la maladie de votre ma?tre ne peut plus récidiver. L'année prochaine, si vous avez encore besoin de moi, je reviendrai vous obliger. Pour le moment, je compte aller à Tsi-nan pour visiter le lac Ta-ming et jouir de son paysage.

  L'intendant, ayant vainement essayé de le retenir, ne put que préparer en son honneur, ce soir-là, un festin d'adieu ; et en rémunération de ses services, il lui présenta un paquet ren- fermant mille taels ou onces d'argent.

  Lao Ts'an pronon?a quelques mots de remerciements, serra le paquet dans ses bagages et, ayant pris place dans une charrette, s'en alla. Tout le long du chemin les collines automnales lui offrirent leurs feuillages rouges et les vieux jardins leurs chrysanthèmes, aussi n'éprouva-t-il aucun ennui.

  II arriva à Tsi-nan. Dans la ville, une source coulait de chaque maison et les saules pleureurs ornaient chaque porte. II trouva cela plus plaisant même que les paysages du Kiang-nan. II se dirigea vers la Petite-Rue de la Trésorerie et y découvrit une auberge qui s'appelait I'H?tel de la Promoti on.

  II y déposa ses bagages, paya la voiture et donna un pourboire au cocher; puis il fit un repas de fortune et se mit au lit.

  Le lendemain, levé de bon matin et lesté d'une légère collation, il partit à travers les rues de la ville, faisant sonner son enfilade de grelo tscomme dans l'exercice de sa profession, mais sans conviction. L'après-midi, il poussa jusqu'au pont de la Diaprure des Pies où il loua une barque sur le lac Ta-ming . II se mit aux rames et à peu de distance au nord atteignit le pavillon Li-hia , où il débarqua. Pénétrant par la grande porte, il y trouva un pavillon dont la peinture était en grande part ieécaillée. Au mur se déroulaient verticalement deux inscriptions parallèl es et symétriques; les cinq caractères de chaque panneau de ce touei-lien disaient:

  A Li-Hia ce pavillon est le plus ancien;

  A Tsi-nan les lettrés illustres sont légion.

  Le coin supérieur de droite portait les mots : ? Composé par T'ou Fou . ? En bas à gauche on lisait : ? écrit par Ho Chao-ki de Tao-tcheou. ? Auprè s du pavillon se trouvaient quelques dépendances qui ne présentaient pas d 'intérêt. Lao Ts'an reprit la barque et rama vers l'ouest. Non loin il abo rda à la rive du temple de T'ie Kong. Qui était ce duc de Fer ? C'est ce T 'ie Hiuan qui, au début de I'ère Ming, se dressa contre le prince Yen. Son courage et son loyalisme ont fait l'objet d'une telle vénération de la pa rt des générations postérieures qu'aujourd'hui encore, aux fêtes du prin temps et de l'automne, la population vient en ce lieu sacrifier à sa mémoi re en br?lant de l'encens.

  En arrivant au temple, Lao Ts'an jeta un coup d'oeil vers le sud et vit de l 'autre c?té du lac, sur le mont des Mille Bouddhas , des temples et monastères bouddhiques cont rastant entre eux par leur silhouette et disséminés au milieu des pins gri s-vert et des cyprès turquoise.

  L'ensemble présentait des points rouges comme le feu, blancs comme la neige , bleus comme l'indigo et verts comme l'émeraude, avec ?à et là les tache s vermillon des érables. C'était comme une grande peinture de Tchao K'ien- li des Song, montée sur un écran de plusieurs dizaines de li de longueur. Comme il n'arrêtait pas de soupirer d'admiration à ce spectacle, il entend it soudain le chant d'un pêcheur. II baissa la tête, cherchant d'où venai ent ces sons, et s'aper?ut que le lac était devenu aussi clair et lisse qu' un miroir. L'image renversée du mont des Mille Bouddhas s'y réfléchissait de fa?on parfaitement distincte : les pavillons, les terrasses et les arbre s y prenaient une splendeur extraordinaire et semblaient encore plus beaux e t plus clairs que le mont d'en haut. Si l'on aborde à la rive sud du lac, o n arrive à une rue animée; mais pour Lao Ts'an elle était complètement m asquée par une vaste plage de roseaux compacts qui se trouvaient justement en pleine floraison. Et l'étendue des épis neigeux reflétant les rayons c hargés de vapeur du soleil déclinant était comme un tapis de velours rose formant un coussin entre les deux collines, la haute et la basse — spectac le vraiment merveilleux.

  Lao Ts'an se dit en lui-même : ? Un paysage d'une telle beauté ! comment s e fait-il qu'il n'y ait pas de promeneurs ? ?

  Quand, se détournant enfin à regret du panorama, il s'approcha du temple d e T'ie Kong, il vit sur les colonnes intérieures de la porte un autre touei -lien où ces inscriptions verticales se faisaient face :

  Les lotus parent les quatre coins et les saules en ornent trois; La montagne commande la ville entière et le lac la Moitié. ? C'est bien vrai ?, se dit-il en hochant doucement la tête. II entra; en f ace de lui était la salle de sacrifice du duc T'ie Hiuan. A l'est se trouva it un bassin de lotus sacrés entouré d'une galerie en zigzag. Au-delà du bassin s'ouvrait une porte en forme de lune, et encore à l'est de celle-ci il y avait une vieille construction de trois travées au front de laquelle u n panneau tout cassé portait ce nom : Ancien temple du Génie des Eaux.

  Ici encore un touei-lien rongé par le temps offrait ce distique: Une coupe de la fontaine glacée s'offre anx chrysanthèmes de l'arrière sa ison;A la troisième veille la barque peinte se fraie un passage parmi les l otus.

  Après avoir visité ce temple, Lao Ts'an remonta dans la barque qu'il dirig ea a l'arrière du pavillon Li Hia. Les fleurs et les feuilles de lotus ense rraient la barque. Les feuilles, qui commen?aient à se flétrir, bruissaien t contre ses flancs, tandis que les oiseaux aquatiques, éffrayés par la ve nue de l'homme, s'envolaient en criant. Les capsules de lotus aux graines dé jà m?res s'accrochaient au bordage et pénétraient jusqu'à la cabine. Lao Ts'an en cueillit plusieurs au passage, et comme il en dégustait les grain es, la barque toucha le Pont de la Diaprure des Pies. (Traduit du chinois par Cheng Tcheng,Gallimard/Unesco)

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